Ils’en passe des choses dans ma cité. Il n’ y a qu à regarder. Moi un jour j’ai dit : « J’arrête, je regarde ». J’ai posé par terre mes deux sacs. Je me suis assis. J’ai regardé. Les gens venaient Les gens marchaient Les gens passaient Les gens tournaient Les gens filaient Les gens glissaient Les gens dansaient Les gens parlaient Gesticulaient Les gens criaient Les gens
Le moment est peut-être venu d’accepter la dure vérité. Vous avez enfin compris ce qu’il vous arrive. Vous êtes amoureuse. Bien-sûr, il laisse ses serviettes humides traîner sur le lit et il est maniaque, insistant toujours pour que vous éteigniez toutes les lumières de son appartement ; mais d’une manière ou d’une autre, vous avez réussi à tomber complètement, follement amoureuse de ce mec. Mais qu’en est-il de la grande question si vous lui dites je t’aime », vous répond-il je t’aime » aussi ? Et même vous aimera-t-il un jour ? Cette dernière question a maintenu éveillée plus d’une femme, et même plusieurs milliards ! Elles se demandent à quel point il serait risqué de déclarer leur flamme. Si vous êtes en couple depuis longtemps, il y a des chances que vous sachiez déjà ce qu’il ressent. Mais qu’en est-il des histoires plus complexes, de celles qui se résument à on s’aime ou on se quitte » ? Qu’en est-il de ce garçon si difficile à décoder que vous avez pensé à recourir aux services d’Enigma ? La vérité, c’est que seul l’homme en question, armé de ses propres mots pourra vous dire si oui ou non, il est amoureux de vous ! Cependant, si vous le suspectez de ne pas vous aimer, il existe quelques signaux qui devraient vous mettre la puce à l’oreille. Voici 11 signes indiquant que l’homme dont vous êtes tombée amoureuse ne vous dira jamais je t’aime » en retour. 1. Il ne communique que sous ses propres conditions. Il est du genre à vous laisser seule devant un lu’. Il voit vos messages. Il sait qu’il les a reçus. Il sait que vous savez qu’il sait. Mais rien de tout ça ne le force à vous répondre. Il vous apprécie. Vraiment ! Mais vous n’êtes pas une priorité à ses yeux — point, fin de la discussion. Il vous répondra quand ça lui conviendra. Il ne joue pas, même si c’est ce dont vous avez envie de l’accuser. Pour être honnête, il vous signale exactement la situation dans laquelle vous êtes tous les deux. Croyez-le. 2. Il vous cache à sa famille et à ses amis. Non, je ne veux pas dire que quand ils lui rendent visite, il vous cache sous un drap ou dans une autre pièce ! Non seulement ça ne fonctionnerait pas, mais en plus ça serait bizarre, bien que relativement divertissant pour un spectateur assis devant sa télé, pas pour vous bien-sûr. Vraiment pas. Ce que je veux dire, c’est que quand un homme souhaite sérieusement que vous fassiez partie de sa vie, en tant que partenaire amoureuse dont il est fier, il est désireux de vous présenter les personnes dont il est le plus proche. S’il vous tient à distance de sa famille et de ses amis, c’est qu’il sait que vous n’êtes pas la bonne et que vous ne le serez jamais. Je sais, ça craint. Mais c’est la réalité. 3. Il refuse d’interagir avec vous sur les réseaux sociaux. Les hommes ayant déjà un pied en dehors de leur relation ne veulent laisser aucune trace de ce moment où ils ont eu un pied dedans… C’est pourquoi, ils limitent prudemment la quantité d’interactions qu’ils ont avec vous sur les réseaux sociaux. Et je ne parle même pas d’une chose aussi sérieuse que de mettre à jour sa situation amoureuse. Je fais référence au fait qu’il supprime son nom des endroits où vous l’avez tagué, à la seconde même où il reçoit une notification, parce qu’il sait déjà que vous êtes bien plus accro à lui qu’il ne l’est à vous et il souhaite aussi que les autres le sachent. 4. Il vous dit qu’il ne vous mérite pas. Les hommes n’ayant aucune intention de vous rendre l’amour que vous leur portez, vous le diront. Ils n’utiliseront simplement pas ces mots-là. Lorsqu’un homme vous dit des choses du genre tu mérites mieux que moi » ; je ne te mérite pas » ; j’ai un côté sombre » ou tout le monde finit par me quitter », il vous dit la VÉRITÉ ! Si un homme fait tout son possible pour vous dire qu’il n’est pas une bonne chose pour vous, croyez-le et passez à autre chose parce qu’il n’a aucune raison de mentir. 5. Il ne vient jamais chez vous. Souvent, pour des raisons pratiques ou par simple habitude, les couples se retrouvent davantage chez l’un que chez l’autre. Pour être claire, ce n’est pas parce que vous vivez ce genre de situation par exemple, vous allez toujours chez lui que cela signifie qu’il ne vous aimera jamais. Non, pas du tout. Ce que j’essaie de dire, c’est que si de temps en temps, vous lui proposez d’aller chez vous et qu’il trouve des excuses pour ne pas y aller ou annule à chaque fois, c’est parce qu’il sait qu’il ne vous aimera jamais. Il ne veut pas vous mener en bateau et franchement, il ne veut surtout pas s’embêter pour vous. 6. Il ne vous présente jamais comme sa copine. Vous avez eu la fameuse discussion et avez décidé de vous engager dans une relation exclusive. Il refuse de changer sa situation amoureuse sur FB, pour des raisons qui vous gênent, mais soit, laissons couler. Maintenant, vous vivez votre première soirée en tant que couple officiel et lorsque vous tombez sur quelqu’un qu’il connaît, il vous présente comme une amie » — ou pire, en utilisant votre prénom. Un homme qui vous aime véritablement sera extrêmement fier de se pavaner à vos côtés et il s’empressera tellement de vous coller l’étiquette petite copine » sur le dos que vous en aurez la tête qui tourne et le cœur qui palpite ! 7. C’est un beau parleur. Un homme ayant conscience de ne pas ressentir grand-chose et sachant aussi que vous êtes folle de lui aura cette formidable manière de vous amener à croire que vous deux, c’est pour la vie. Il parlera de prendre des vacances de rêve avec vous, de ce à quoi ressemblera votre maison secondaire et du nom que vous donnerez à l’adorable chiot que vous adopterez ensemble. Comparez ses prétendus rêves à ce qu’il fait vraiment. Si vous n’êtes même pas sûre de le revoir demain, il y a de fortes chances qu’il n’ait jamais prévu de vous emmener une semaine à Ibiza. 8. Il disparaît pendant des jours entiers. Quand on aime quelqu’un, on fait tous les efforts possibles pour qu’il se sente choyé. Après tout, aimer signifie faire passer les besoins de l’autre avant les siens. Aimer signifie aussi faire cela avec PLAISIR. Un homme qui vous fait le coup du silence radio pendant des jours entiers et qui ne vous dit pas ce qu’il fait ou avec qui il le fait ne vous traite pas amoureusement. Et il fait cela parce qu’il ne vous aime pas. Peut-être aime-t-il simplement l’attention que vous lui donnez lorsque vous le suppliez de vous répondre. 9. Il est soûl chaque fois que vous êtes ensemble. Je suis sortie avec un mec avec qui je pensais que c’était sérieux. Nous nous écrivions toute la journée. Nous passions chaque week-end ensemble. Mais il y a une chose que j’ai négligée dès le départ chaque fois que nous étions ensemble, soit il buvait, soit il était déjà soûl à mon arrivée. Je n’étais pas la fille de ses rêves, j’étais la fille de ses nuits alcoolisées. Si un homme a besoin d’alcool pour supporter les moments qu’il passe avec vous, soit il a un problème avec l’alcool que vous ne pouvez pas résoudre à sa place, soit il ne vous voit que comme un amusement, comme l’olive dans son martini. Ce n’est pas un homme qui professera son amour pour vous. Pas sobre, en tout cas. 10. Il évite d’établir un contact visuel avec vous. La communication est la clé de toute relation saine. Si vous êtes amoureuse, c’est super, mais même le plus grand amour de tous n’a aucune valeur si les deux partenaires sont incapables de s’asseoir et de discuter des choses importantes et difficiles. C’est ce que les gens engagés dans des relations valables font. Si vous essayez de parler avec votre homme de choses d’importance et qu’il rompt le contact visuel, autant qu’il vous dise directement qu’il n’est pas prêt pour quelque chose de sérieux, pour l’amour, pour la communication. En fait, il n’est surtout pas prêt pour vous ! Passez à autre chose. Trouvez un mec qui vous regarde droit dans les yeux, comme un homme. 11. Il n’a aucune envie de rencontrer vos amis. Vous pensez avoir alpagué le bon », mais il y a juste une petite chose qui vous embête il arrive comme par magie à devenir invisible lorsque vous dites que vous aimeriez qu’il rencontre vos amis. Quand vous n’êtes que tous les deux, il vous dit à quel point il est impatient de passer du temps avec vous, mais quand il a enfin l’opportunité de vraiment passer du temps avec vous, il vous sort un millier d’excuses expliquant pourquoi il ne peut pas maintenant ». En vérité, il n’y a qu’une seule excuse. Il sait que vos amis verront clair dans son jeu. Il est temps pour vous d’en faire autant.
125Likes, 6 Comments - Ve RoMes (@vero38600) on Instagram: “II s'en passe des choses dans ma cité. Il n'y a qu'à regarder. Moi, un jour, j'ai dit : « J'arrête,”
Pourquoi Symphorien ? À un ami comédien qui me posait la question, j’ai répondu parce que Le Cid a déjà été fait », badine Pierre Huet. L’idée, qui vient des producteurs de la pièce créée au théâtre du Vieux-Terrebonne, de transporter au théâtre cette comédie télévisuelle populaire des années 1970, peut surprendre. Mais quand la commande est arrivée, les deux coauteurs sont allés revoir les épisodes disponibles afin de vérifier si cette oeuvre du passé résistait au temps, et ils ont constaté que ses personnages étaient très forts ». Et puisque de grands interprètes les incarnaient au réseau TVA, ils sont restés dans la mémoire des gens, explique Louis Saïa. Janine Sutto et Jean-Louis Millette y ont notamment créé des compositions marquantes. Les personnages étaient même plus forts que l’intrigue à l’époque, je pense. Évidemment, il fallait un peu refaire l’histoire. Dans le sens où on a toujours tendance à embellir les choses du passé. Notre travail a été de donner ce dont les gens se souviennent, comme ils s’en souviennent. » Cette résurrection va-t-elle être un trip de nostalgie pour un certain public ? Au contraire, le tandem a décidé d’emblée que la pièce devait vivre par elle-même, sans qu’il soit nécessaire d’avoir connu la sitcom de Marcel Gamache au préalable. J’espère que mes filles, qui ont 30 et 27 ans, pourront la voir et s’amuser, dit Huet. Je pense qu’avec notre pièce, on arrive avec quelque chose de “symphorienesque”, mais qui est de 2022 — je viens sûrement d’inventer un mot. » Selon son comparse, si Symphorien tient encore la route, c’est aussi parce qu’il reprend un vieux principe de comédie, celui du “petit” ». Louis Saïa cite ainsi la commedia dell’arte ou les valets débrouillards chez Molière. On se met toujours du bord du petit. On rit du bourgeois gentilhomme parce que c’est le serviteur qui rit de lui. » J’espère que mes filles, qui ont 30 et 27 ans, pourront la voir et s’amuser. Je pense qu’avec notre pièce, on arrive avec quelque chose de “symphorienesque”, mais qui est de 2022 — je viens sûrement d’inventer un mot. — Pierre Huet Pour verser dans la sociologie, on pourrait voir en Symphorien, ce concierge père de 14 enfants, une représentation de l’homme québécois d’une certaine époque, qui a de la misère à arriver, qui a des bosstough ». Sa patronne Madame Sylvain abusait beaucoup de lui dans la série ; la notion de hiérarchie existait beaucoup plus à l’époque », reprend le coauteur des Voisins et d’Appelez-moi Stéphane, qui effectue ici un retour à l’écriture scénique. Si leur but est avant tout de faire rire, Louis Saïa croit que leur pièce peut rejoindre encore les préoccupations des gagne-petit, qui ont du mal à joindre les deux bouts en ce moment. La vérité de l’homme ordinaire » D’autant plus que l’adaptation théâtrale situe le récit l’année où la série a terminé sa diffusion, en 1982. Un contexte pas si différent Cette année-là, l’inflation était galopante au Québec et au Canada. Donc on fait des références avec maintenant. » De plus, l’histoire est sise dans une maison de chambres, un type d’habitation en augmentation avec la crise du logement, selon Saïa, qui en a vu récemment ouvrir quelques nouvelles dans son quartier. Moi, ce qui m’a frappé dans les épisodes, c’est que Symphorien correspondait à quelque chose qui est de plus en plus fort aujourd’hui la vérité de l’homme ordinaire, dit Pierre Huet. De par son intégrité, il fait sortir le bon côté des autres personnages. Moi, je dis qu’il est un mélange de Gaston Lagaffe, parce qu’on le blâmait toujours — il y a une phrase qui revient souvent “c’est la faute à Symphorien” —, et du personnage de Chaplin, à cause de son intégrité profonde. Le méchant, ce n’est pas un grand secret, c’est la belle-mère de Symphorien, qui est vraiment un personnage exécrable. Symphorien, dans l’arc de notre pièce, finit par faire ressortir les bons côtés de la pimbêche qu’est Mlle L’Espérance. » Est-ce donc à dire que la pièce sera un peu misogyne ? Ils s’empressent de réfuter. Vous faites bien de poser la question parce que ça me permet de parler de Marcel Gamache, réplique l’ancien rédacteur en chef de Croc. Avant de regarder les vieux épisodes, on se demandait est-ce qu’on va tomber sur des blagues sexistes, homophobes, racistes ? Et non. Si on n’a pas eu à faire le ménage des écuries d’Augias, c’est que, comparativement à d’autres séries de l’époque, même américaines, il n’y avait pas cette méchanceté profonde. Je concède que le personnage de la belle-mère est un bel exemple de tête à claques. Mais non, les femmes sont fortes chez Symphorien — même parfois, pour lui, trop fortes. J’attends avec un grand sourire quiconque trouvera là du sexisme, honnêtement. » Photo Marie-France Coallier Le Devoir La distribution est composée d’interprètes qui sont des comiques naturels et qui ont tous une propension facile à créer», dont François Chénier dans le rôle vedette, créé par Gilles Latulippe. Les auteurs ont fait un tri » des éléments dont ils jugeaient qu’ils avaient vieilli. Les blagues de Newfies d’Éphrem ne sont évidemment plus de mise. Quant à Mademoiselle L’Espérance nouvelle version incarnée par Nathalie Mallette, Louis Saïa fait une analogie audacieuse. Moi je dirais, au lieu d’être une vieille fille, c’est un peu comme le personnage de Blanche dans Un tramway nommé Désir, mais comique [les deux auteurs s’esclaffent]. Elle fantasme beaucoup. » Al Capone Le duo s’est donc inspiré de l’univers de Marcel Gamache pour imaginer un récit inédit. On a essayé de tirer l’essence des personnages, pas de faire un pastiche, précise Saïa. Donc, on reconnaît les personnages, sans que ce soit les mêmes que les originaux. On ne voulait pas faire une copie, ce n’est pas intéressant. » La distribution est composée d’interprètes qui sont des comiques naturels et qui ont tous une propension facile à créer », ajoute celui qui signe aussi la mise en scène, en collaboration avec Pierre Séguin. Avec François Chénier dans le rôle créé par Gilles Latulippe et, notamment, Patrice Coquereau en Oscar, le croque-mort. S’il existe des similarités, dont physiques, avec la distribution originelle, à cause de leur créativité, ils nous amènent ailleurs ». Je pense qu’on a fait une intrigue forte, ajoute Huet. Je suis certain que ça n’a pas l’air d’un épisode de télé enflé sur une heure et demie. C’est là où l’expérience de Louis en théâtre a été extrêmement utile. Et en sitcom, il y a ce qu’on appelle “remettre les meters à zéro” on repart toujours l’intrigue au début. Alors, si Symphorien redevenait une série télé, notre épisode n’existerait pas parce qu’il se passe des choses trop fondamentales dans l’intrigue. Par exemple, l’éternelle histoire non amoureuse entre Berthe L’Espérance et Oscar Bellemare, nous, on l’amène quelque part. On résout des choses. » Une histoire qu’ils ne veulent pas trop révéler, mais où le passage d’Al Capone dans la pension, à l’époque où celle-ci était un bordel, devient un élément charnière… Si Symphorien était du burlesque, élaboré beaucoup à partir de canevas » par les comédiens, qui improvisaient des répliques, il n’y a rien d’improvisé dans la pièce, où chaque ligne a été très travaillée. Louis est très fort en dramaturgie. Et j’ose penser que je suis un amoureux des mots, l’écriture est ma passion, dans toutes ses variations, depuis 50 ans. Donc, le mix entre nos deux talents, c’est pas si mal. » D’ailleurs, le tandem a déjà une autre pièce en gestation. Pierre Huet s’étonnait récemment que quelqu’un l’ait présenté comme auteur de chansons et dramaturge ». J’ai bientôt 73 ans et pour la première fois, me voilà rendu dramaturge ! J’y ai éprouvé un grand plaisir et je le dois à ce monsieur ici. » À voir en vidéo
Toutà l’heure, comme je traversais le boulevard, en grande hâte, et que je sautillais dans la boue, à travers ce chaos mouvant où la mort arrive au galop de tous les côtés à la fois, mon auréole, dans un mouvement brusque, a glissé de ma tête dans la fange du macadam. Je n’ai pas eu le courage de la ramasser.
Exploit essayons de peut-être faire un commentaire plus grammaire, orthographe! "C’était ce que Huayan s’était dit en regardant ses membres d’équipage entrain de piloter le grand vaisseau à travers les Routes Stellaires."Si je suis "en train" de faire quelque chose, je vais écrire en train ainsi. C'est logique. Je suis en préposition train nom commun. Le tout est un adverbe, je peux d'ailleurs le supprimer ! Alors que "entrain", hum... c'est un nom commun ! "Oh quel bel entrain !" Donc je ne peux évidemment pas l'utiliser ainsi, comme un le rp commence et... ça va, ça me plait plutôt ! Directement, tu commences un genre d'exploit qui va... faire ta spécificité durant cet event des exploits un peu hors du temps, très décalés par rapport à la situation du mois de février. Et au début, moi ça me plait assez parce qu'on est complètement dans ce registre un peu loufoque de "La meuf est tellement au-dessus, c'est limite normal pour elle de réagir comme ça". Je changerai peut-être d'avis plus tard mais enfin. En fait on a tous des rps où il ne se passe pas grand chose, dans notre participation. Des rps d'attente, limite des rps où on se relaxe mais toujours dans la tension du moment. Comme le rp précédent, par exemple. Mais celui-ci, c'est déjà full "wola, laissez-moi tranquille avec votre BR, là-bas, j'ai un truc plus important à faire mon thé !"Voilà ce que je veux dire par "ta spécificité", qu'elle soit bonne ou mauvaise. Pour l'instant, donc, c'est pas a un très chouette paragraphe de description "La salle principale s’illumina à l’entrée de sa propriétaire dans la pièce. Une lumière douce, peu agressive. La salle était dans la pénombre et les grands écrans permettaient de voir l’infinité stellaire autour de cette grande cabine, comme s’il n’y avait pas de murs, de câbles et de plaques de blindage. C’était beau. Elle prit un escalier sur la droite qui descendait sous cette immense plateforme. Un ensemble de petites et moyennes pièces se trouvaient là. Une chambre par exemple."Alors on n'a pas de... descriptions des pièces pour autant, ça n'empêche que ce qui est décrit est joliment décrit. Et puis... euh... " Elle aurait pu demander des serviteurs dans ces salles, mais elle préférait être seule ici. C’était son espace personnel. Elle était la plupart du temps seule ici et appréciait ces petits moments de solitude."Là, on dégringole ^^. Autant le fond, ce qui est raconté est sympa, autant en trois phrases, t'as vraiment bien poncé le champ lexical de la solitude. Et encore je dis ça mais non, précisément. C'est un peu toujours les mêmes mots et surtout trois phrases pour dire exactement la même chose, sans vraiment... apporter quelque chose. L'idée générale est sympa, la manière de le présenter, moins. Le fait de devenir Gouverneur de Chengdu, Consule et Impératrice l’avait enrichi de nouveaux serviteurs=> le fait l'a enrichi. Le reste on s'en fiche. Le reste l'a enrichi. J'accorde le participe passé ou pas ? Le cdv, c'est l', et il désigne Huayan, qui est une femme. Le cdv est avant le verbe donc... oui on accorde => le fait de devenir Gouverneur de Chengdu l'avait enrichie. "Alors, ces petits moments de solitude, elle les appréciait. Cela lui permettait de se détendre, de n’avoir aucun masque » sur le visage. Elle était elle, dans ce grand espace construit pour elle avec son propre argent. Elle fit chauffer un thé, pour retourna sur la plateforme principale où était son trône » et ses instruments de méditation."C'est un moment sympa que, je trouve, tu gâches un peu avec ces guillemets sur masque et sur trône. On comprend qu'elle ne porte pas vraiment un masque, que c'est figuré. Et ça a beaucoup de sens d'utiliser ce mot vu qu'elle porte parfois un masque pour se faire passer pour l'Innommable, ou encore pour sa propension à changer d'apparence. Le fait de mettre des guillemets autour de ce masque, c'est vraiment "VOUS AVEZ COMPRIS ?!!!!". Pareil pour le trône. On ne sait qu'elle n'a pas un trône dans sa petite chambre personnelle, donc pas besoin de mettre des guillemets, on saisit l'intérêt de parler de trône pour parler de son la différence que lui n’avait semble t-il tuer personne.=> À la différence que lui n'avait, semble-t-il, tué Il faut essayer de mettre les accents sur les A, même si ce sont des majuscules. 2 Le fait qu'il n'y ait pas de virgule rend la phrase franchement brouillonne. Ton "semble-t-il" est ce qu'on appelle une incise. Ca apporte quelque chose à la phrase, ça lui donne une élégance, mais il faut à tout prix l'isoler, montrer qu'elle ne fait pas partie de ta proposition principale. Là, tu la mets comme un complément d'objet juste derrière ton verbe. 3 semble-t-il est une inversion sujet verbe très classique. À l'instar de il dit => dit-ilje parle => parlé-jeTu étais => étais-tuOn met tout le temps un tiret. Ici c'est pareil. Semble-t-il, il faut un tiret entre les trois particules de cette inversion. 4 tué personne ou tuer personne ? La phrase est trop compliquée alors on va la simplifier pour savoir => Il n'a tué personne ou il n'a tuer personne. Le classique "Omar m'a tuer". Il faut évidemment utiliser le "é", le participe passé. Sinon ! La fin est très intéressante. J'aurais aimé encore plus d'introspection, de réflexion, de questionnements. Mais c'est bien de voir Huayan un peu s'interroger sur Lord Business et sur ses motivations. Très facile 5 xp, 50 munnies et 1 PS en défense. Oh ! Il faut que tu te mouches ! Tout ce que tu as sous la main,c 'est... un rapport ?! Tu peux envoyer un mp à Général Primus pour en réclamer un ! _______________________________
Lâcherprise, c'est accepter de ne pas tout comprendre maintenant ou peut-être jamais. Lâcher prise, c'est craindre moins et aimer davantage. Je vous souhaite une agréable semaine remplie

La retraite étant conditionnée par les cotisations que vous avez acquittées au cours de votre carrière professionnelle, moins vous avez cotisé, moins votre retraite sera élevée. Mais plusieurs dispositifs vous assurent un minimum. L’Aspa, une allocation de solidarité pour personnes âgées Si, tout confondu retraite personnelle, pension de réversion…, vos revenus restent très faibles, vous pouvez demander à percevoir l’Allocation de Solidarité aux Personnes Agées Aspa.L’Aspa a pour but de porter vos ressources à un niveau minimal depuis le 1er janvier 2022, les montants sont 11001,36€ par an, soit 916,78€ par mois pour une personne seule, 17078,72€ par an, soit 1423,31€ par mois pour un couple. Vous percevez cette allocation intégralement si vous n’avez aucune ressource. Sinon, vous percevez la différence entre ces plafonds et vos Aspa, ex-minimum vieillesse c'est combien? Les conditions pour percevoir l'Aspa - Vous devez avoir atteint l’âge de 65 ans pour prétendre à l’ASPA ou 62 ans si vous êtes reconnu inapte au travail et/ou atteint d’un taux d’incapacité de 50% devez aussi résider régulièrement en France au moins 6 mois dans l’année. Vous devez la demander L'ASPA n’est pas versée automatiquement, vous devez en faire la demande à votre caisse de retraite de base ou, si vous en avez plusieurs, à celle qui vous verse la retraite la plus élevée. Si vous n’avez aucune retraite, vous devez remplir ce formulaire et le remettre à votre mairie.

LeBon air de la campagne, Hubert Van Rie, Les presses de la cité « Le roman graphique est une nouvelle grammaire qui s’est durablement installée dans le paysage.C’est une façon de se réapproprier l’image et de leur donner du sens », explique Sofia Bengama.Dès son arrivée à la direction des Presses de la cité en octobre 2020, elle décide donc de s’emparer du
Denis Messages 17587 Enregistré le 29 déc. 2008, 1926 Localisation Digne les bains Contact Re Il s'en passe des choses pendant la nuit! Message par Denis » 08 févr. 2009, 1958 Laulau a écrit Ah ouais, ça a de la gueule ! Ça déchire même ! T'aurais pas un peu abusé de breuvage illicite denis ? Bah non! Chuis sage, moi... admin Administrateur Messages 1592 Enregistré le 28 déc. 2008, 1620 Contact Re Il s'en passe des choses pendant la nuit! Message par admin » 09 févr. 2009, 0023 Merci les gars pour vos appréciations ! J'essaie de bien faire, vos remarques m'encouragent en cette période difficile de fin d'hiver où le soleil maintenant nous manque. Robert Messages 23105 Enregistré le 21 janv. 2009, 2038 Localisation SARREBOURG Contact Re Il s'en passe des choses pendant la nuit! Message par Robert » 10 févr. 2009, 1035 Oui, il s'en passe des choses. Bravo pour les améliorations du site. Oui, je trouve aussi l'hiver très long, d'autant que je suis dans une très mauvaise passe et crains le spectre du "billard". J'ai des symptômes inquiétants d'une maladie invalidante mes vertèbres coincent ! D'un naturel optimiste je me dis "Tout ça s'arrangera !" Robert Messages 23105 Enregistré le 21 janv. 2009, 2038 Localisation SARREBOURG Contact Re Il s'en passe des choses pendant la nuit! Message par Robert » 10 févr. 2009, 1157 Salut Denis. C'est une supputation ... mais j'ai eu le même truc il y a trois ans et ... j'étais passé sur le billard. Je passe des exams cette semaine scanner, radio Je ne panique pas ... encore. De toutes façons, je serai aux "fondus", mort ou vif ! Denis Messages 17587 Enregistré le 29 déc. 2008, 1926 Localisation Digne les bains Contact Re Il s'en passe des choses pendant la nuit! Message par Denis » 10 févr. 2009, 1201 Manquerait plus que ça que t'y sois pas! Blague à part, fais gaffe à ton dos. Vaut mieux se reposer un peu, pour mieux repartir apres! Robert Messages 23105 Enregistré le 21 janv. 2009, 2038 Localisation SARREBOURG Contact Re Il s'en passe des choses pendant la nuit! Message par Robert » 10 févr. 2009, 1224 Très surprenant, et je ne blague pas Il n'y a que sur le vélo que je n'éprouve aucune douleur ! Je fais une sortie de quatre heures et dès que je quitte les pédales pour poser les pieds par terre puis ma bécane, c'est la cata ... J'ai même mal au lit ! J'espère en savoir un peu plus en fin de semaine.
Jevenais tout juste de déménager. Après 5 ans d'appartement en centre ville, je m'étais trouvé un coin tranquille en campagne, une ancienne ferme rénovée au centre d'un grand jardin arboré.

Je venais tout juste de déménager. Après 5 ans d'appartement en centre ville, je m'étais trouvé un coin tranquille en campagne, une ancienne ferme rénovée au centre d'un grand jardin arboré. C'était le début de l'automne, après une dure journée à déplacer des meubles, je me souviens avoir passé le reste de l'après-midi assis sur le porche, admirant le spectacle des feuilles d'arbres virevolter autour des troncs pour aller mourir au sol. Une semaine plus tard, j'avais terminé de déballer les cartons et je préparais la chambre d'ami pour ma petite cousine qui devait arriver dans la soirée. Comme j'étais entre deux emplois, ma tante m'avait demandé de baby-sitter sa fille pendant quelques jours. J'avais accepté avec plaisir, n'ayant toujours pas internet ni de télévision, un peu de compagnie allait me faire le plus grand bien."Elle a déjà mangée, donc plus rien ce soir, même si elle insiste", me dit ma tante en retournant dans sa voiture. "D'accord." répondis-je en faisant un clin d'oeil à Elisa. "Je t’appellerai tous les soirs ma chérie, pas de bêtises!", fit-elle en démarrant le moteur. Elisa et moi firent des gestes d'adieu à la voiture pendant qu'elle s'éloignait entre les arbres. Une fois disparue au détour du chemin, je regardai ma cousine d'un air complice."Il y a un gâteau au chocolat dans le frigo". Elle poussa un petit cri de joie et couru immédiatement rejoindre la maison. Du haut de ses six ans et demie, Elisa n'était pas une fillette très compliquée. En portant ses deux valises remplies de jouets, de carnets de dessins et autres joyeusetés jusqu'à la maison, je me disais que le reste de la semaine allait être une partie de plaisir. J'avais tort. Le lendemain soir, après avoir englouti nos assiettes de purée-jambon son plat préféré, nous nous étions installé dans le salon, au coin du feu. Moi, lisant un livre sur le canapé, elle, dessinant dans un de ses carnets, à plat ventre sur le tapis. J'étais son cousin, mais elle avait pris l'habitude de m’appeler tonton. "Tonton?""Oui ma puce?""Je peux aller jouer dans le jardin?""Non il est trop tard pour ça". "Mais il fait encore jour!"Je jetai un œil par la fenêtre derrière moi. Le soleil n'était pas encore couché, mais ça n'allait pas tarder. "Bon d'accord, mais tu reste dans le jardin juste devant la maison. Si je te vois dans les arbres, je mets tous tes jouets dans le placard et je le ferme à clef". Je n'avais pas terminé ma phrase qu'elle était à mi-chemin de la porte d'entrée, un jouet dans chaque main. Inutile de la suivre pour la surveiller, je l'entendais donner des voix à ses barbies à travers la fenêtre. Quelques minutes plus tard, absorbé dans mon livre, je pris soudainement conscience qu'il n'y avait plus un bruit. "Elisa??"Je regardai par la fenêtre et ne la vis pas. Le soleil était en train de se coucher, la panique m'envahit mais fut de courte durée. "Je suis là!"Je pris une profonde inspiration de soulagement en comprenant qu'elle était dans la cuisine. Quel idiot. A partir de maintenant je ne la quitte plus des yeux. Ce soir-là, comme la veille, je dus négocier pour la mettre au lit. Assis au bord du lit, il fallait que je lui raconte une histoire, ça c'était obligatoire, mais la question étant de savoir combien de temps j'allais devoir improviser dans mon récit pour qu'elle se sente enfin prête à fermer les yeux. Et comme je venais à manquer d'inspiration, je pris la poupée qu'elle tenait entre ses mains et lui attribuai une histoire."Elle, c'est Martine, la fille du roi d'un pays très lointai...""...non, c'est pas vrai.", m'interrompis Elisa. Je lui souris, un peu surpris par le sérieux dans sa voix."Ah bon? Et pourquoi c'est pas vrai?""Elle s'appelle pas Martine, elle s'appelle Angeline.""Angeline? Pourquoi Angeline?""Je sais pas, c'est le jardinier qui me l'a donnée""Quel jardinier?""Celui qui ramasse les feuilles mortes dans le jardin"Le sourire s'évanouit sur mon visage. Elle avait levé son doigt en direction de la fenêtre. "Quoi...mon jardin?"Elle fit oui de la tête. J'observai un instant la poupée entre mes mains. Elle était sale et très abîmée, ce qui est plutôt normal pour un doudou. Mais je n'avais pas de jardinier. "Et... dis-moi, quand est-ce qu'il t'as donné la poupée, ce jardinier?""Quand je suis allée jouer tout à l'heure."Je vis qu'elle remarquait l'inquiétude sur mon visage, alors je lui souris tendrement et l'embrassai sur le front avant de lui souhaiter bonne nuit. De retour sur le canapé du salon, j'étais incapable de reprendre ma lecture. Un jardinier. L'aurait-t-elle inventé? Non, elle n'avait pas l'air de mentir, et puis de toute façon ce n'est pas son genre. Alors quoi? Qu'un inconnu en randonnée traverse mon jardin et croise ma cousine, d'accord, mais qu'il lui donne une poupée? Quel genre d'individu se balade avec une vieille poupée? Tout ça n'a aucun sens... Le livre me tomba soudainement des mains et je me redressai d'un coup sur le canapé. Un rayon de lumière venait de traverser le mur en face de moi. Sans réfléchir, je me précipitai dans le couloir pour sortir la batte de baseball du placard. Puis, j’éteignis toutes les lumières de la maison avant de revenir prudemment me poster prêt de la fenêtre du salon, caché dans l'ombre. Il y avait quelqu'un dans le jardin, à une cinquantaine de mètre en face de l'entrée. Je distinguais clairement les contours de sa silhouette entre les arbres, car elle était éclairée par une lampe torche posée à ses pieds. L'individu paraissait immobile et me tournait le dos. "Votre numéro de téléphone est identifié, et votre communication sera enregistré, tout abus sera sanctionné", me dit la voix de femme pré-enregistrée. Après quelques sonneries, quelqu'un décrocha. "Bonjour, police secours, je vous écoute". "Bonjour, je vous appelle parce qu'il y quelqu'un dans mon jardin". L'agent de l'autre côté de la ligne pris mon adresse et m'informa qu'ils allaient envoyer quelqu'un dans la demi-heure. Je n'avais pas lâché du regard l'individu qui n'avait toujours pas bougé d'un poil, si bien qu'après une dizaine de minutes je commençai à douter qu'il soit bien réel. Ce n'était peut-être qu'un mannequin, une mauvaise blague de mes nouveaux voisins pour me souhaiter la bienvenue. Les plus proches vivaient à trois kilomètres, je les avais rencontré pour demander ma route quand j'étais venu pour visiter la maison. Quatre étudiants en colocation, ce serait bien le genre. Oui, c'était une blague. Voilà quinze minutes que ce truc était immobile, ce n'était pas une personne. De toute façon, la police arrivait, j'allais le savoir bien assez tôt. "Qu'est-ce que tu fais?"Je bondissait de ma cachette en sursaut. Elisa était debout dans le couloir en pyjama. "Euh... rien je... je regarde s'il y a des animaux""Des animaux?""Oui, quand j'éteins les lumières... il y a des cerfs qui viennent parfois se balader dans le jardin""Et... "Elle regardait la batte de baseball posé contre le canapé, juste à côté de moi. "C... c'est pour les ours. Au cas où.""Les ours??"Et merde. Quel con, elle ne va pas dormir de la nuit. "Non enfin... je t'expliquerai demain, il faut que tu ailles dormir, allez allez""Je veux regarder les animaux avec toi""Non non, de toute façon il ne viendrons pas, ça fait déjà un moment que j'attends. Demain soir peut-être, en attendant, au lit! Allez hop!"Avant de la rejoindre pour la porter jusque dans son lit, j'avais jeté un coup d’œil dans le jardin. La silhouette avait disparue. J'ai demandé aux deux policiers de bien vouloir rester dehors, expliquant que je ne voulais pas réveiller ma cousine. Ils m'ont interrogé et j'ai rapidement fais le tour des environs avec eux, en commençant par l'endroit où j'avais vu la silhouette. Pas une trace de l'individu."On va rester dans le coin pendant une petit heure, sur la route au niveau de l'intersection. Sur ce numéro vous pouvez nous joindre directement, si on remarque quelque chose on s'en occupe et on vous appelle, de votre côté, si vous voyez quelque chose, appelez nous mais ne sortez pas de la maison.""D'accord. Merci beaucoup.""C'est normal. Si dans une heure on ne vous a pas contacté, considérez qu'on est rentré au poste, et fermez votre porte à clef."Alors j'attendis, posté dans l'ombre prêt de la fenêtre du salon, comme plus tôt. Je passai mon regard d'est en ouest sur le jardin, scrutant chaque arbre à la recherche d'un mouvement. Au bout d'une heure de silence sans la moindre manifestation d'une silhouette mystérieuse, j'entendis au loin démarrer un moteur. Les policiers était verrouillai les deux portes d'entrée et vérifiai chaque fenêtre. Il était hors de question que je dorme dans ma chambre, alors je pris ma couette et mon oreiller pour m'installer un lit de fortune près de la porte de la chambre d'Elisa. Allongé dans le couloir, la batte de baseball le long du corps, j'essayais de me rassurer pour trouver le sommeil. Tout ça n'est qu'une mauvaise blague, je passerai voir mes voisins dès demain matin pour m'en assurer. "Tonton! Tonton réveilles toi!""Hein? Quoi?"Elisa était accroupie au dessus de ma tête, elle remuait mes épaules avec ses petites mains. Il faisait encore nuit."Qu'est-ce qui se passe? Quelle heure il est?""Il y a quelqu'un dans le jardin!"L'adrénaline envahit mon corps, j'attrapai la batte de baseball. Finit de rigoler. Blague ou pas, je vais le défoncer."Va dans ta chambre et reste-y. Je vais aller voir".Je fis un détour par la cuisine avant de sortir, un couteau ne serait pas de trop. Une fois dehors, je vis la lumière au même endroit que plus tôt, la silhouette était de retour. Je pris une profonde inspiration avant de m'élancer dans sa direction. "Eh! Qu'est-ce que vous foutez là?"L'individu se retourna pour me faire face. C'était un homme relativement âgé, vêtu d'une salopette marron sur un pull vert très usé. Je m'étais approché jusqu'à me tenir à cinq mètres de lui, et je remarquai que ce n'était pas une lampe torche qui l'éclairait, mais une sorte de lanterne posée à ses pieds. Il me regardait droit dans les yeux. "Qu'est-ce que vous foutez dans mon jardin?", demandais-je en serrant un peu plus fort la batte de baseball."On m'appelle Le Bictou, répondit l'inconnu. Je suis le jardinier""J'ai pas de jardinier. Cassez-vous d'ici et revenez pas, sinon j'appelle les flics""Vous l'avez déjà fait tout à l'heure, c'était pas très efficace. Je vous ai vu passer avec les policiers, j'étais caché là-bas"Il leva son bras droit pour désigner la ligne de buisson qui bordait le côté ouest du jardin."Barrez-vous. Maintenant"."Je ne peux pas.""Pourquoi?""Parce que je dois rester fidèle au poste...".SpoilAfficherMasquer...ou cancer SpoilAfficherMasquerNan je déconne, en vrai les kheys je suis désolé mais panne d'inspiration, j'ai pas réussi à trouver de suite...

en2016 , C'est super! Oui je pale français.

J’ai eu l’impression d’être entouré de chaleur… C’était une onde bienfaisante… Il était comme collé à ma peau… Je me sentais baignée de joie et d’amour… » Certes, les variations sont multiples, mais le sens global exprimé demeure fondamentalement le même. Des personnes rationnelles témoignent de l’inouï, des signes des défunts, un contact sensible, réel, avec leurs proches décédés. Dans tous les cas, il s’agit d’une expérience spontanée, survenue sans l’intermédiaire d’un médium et le plus souvent dans les premiers jours ou semaines après le décès. Cette expérience indéfinissable porte un nom VSCD, vécu subjectif de contact avec un défunt », ou encore CAD pour communication avec les défunts ». Des termes qui, pour beaucoup de sceptiques, appartiennent au domaine des impressions, voire des affabulations mais qui, pour ceux qui portent témoignage, soulagent. Car nommer cette expérience est déjà la reconnaître. Des signes des défunts qui ne trompent pas De nombreuses personnes ont ainsi des contacts avec des défunts sans passer par des médiums. Ce sont des personnes que l’on pourrait qualifier de normales » et qui ne se savent douées d’aucun don paranormal. Toutes évoquent pourtant des VSCD qu’il est possible de classer en une brève typologie. Les VSCD les plus courants sont d’ordre sensitif évocation d’une sensation inédite “d’enveloppement d’amour” et de chaleur intense, un sentiment de paix et de joie infini, tactile on se sent touché par une présence qui parfois peut refaire un geste familier du défunt, symbolique comme les papillons, les oiseaux ou les arcs-en-ciel, physique une lumière ou un appareil électrique qui s’allume ou s’éteint, une montre qui s’arrête définitivement à l’heure du décès, visuel vision partielle ou complète du défunt, olfactif une odeur évoquant le défunt. Le VSCD peut survenir aussi dans un rêve où le défunt transmet un message ou encore une communication avant l’annonce du décès. Un exemple frappant a ainsi été rapporté à plusieurs reprises celui des dessins d’enfants ayant vécu en camps de concentration. Alors que ces dessins ont été retrouvés dans des lieux où la mort était omniprésente, on observe sur plusieurs la présence de papillons. La symbolique prend une dimension encore plus forte si l’on se souvient que, dans la mythologie grecque, l’âme acquiert des ailes de papillon. Ainsi elle peut manifester son amour de différentes manières… Sur le même sujet Nos proches nous parlent, apprenons à les entendre, l’interview de Valérie Seguin Le jour où j’ai commencé à communiquer avec les morts Témoignages ils ont reçu un message de leur défunt, ils racontent Une passeuse d’âmes nous explique comment décrypter les signes des défunts Des chiffres parlants… Mais peu de recherches sur les signes des défunts L’expérience du vécu subjectif de contact avec un défunt » ne serait pas si rare. 25% des Européens et 20 à 44% des Américains déclarent l’avoir éprouvée. Pour l’Europe, une large enquête a été menée dans 13 pays. Elle porte sur les domaines de la télépathie, de la clairvoyance et du contact avec les morts. Sur ce dernier point, les individus sondés devaient répondre à la question Avez-vous déjà eu l’impression d’être réellement en contact avec une personne décédée ? De grandes différences par pays apparaissent, puisque les réponses positives varient entre 9% et 41% des sondés. l’Islande en tête avec 41%, puis l’Italie avec 34%, l’Allemagne de l’Ouest 28%, la Grande-Bretagne 26%, la France 24 %, la Belgique 18%, l’Irlande et l’Espagne 16%, la Finlande et la Suède 14%, la Hollande 12%, le Danemark 10% et la Norvège 9%. En résumé, il ressort en moyenne qu’un quart des Européens reconnaît avoir eu un contact direct avec un être décédé. Pour les États-Unis, les estimations, prudentes, annoncent 20% de réponses positives à la question. Mais certaines estimations avancent un pourcentage beaucoup plus élevé, notamment chez les parents et les enfants en deuil, les veufs et veuves. Malgré ces chiffres élevés, nous n’en sommes encore qu’aux balbutiements de la recherche dans le domaine. A ce jour, il n’existe aucune équipe de chercheurs qui répertorient, de façon systématique, les récits de VSCD, en écartant ce qui est de l’ordre du psychiatrique hallucinations, délires d’interprétations etc. pour ne s’en tenir qu’à des faits tangibles. Les voies d’investigation sont désormais ouvertes… » constate le psychiatre français Christophe Fauré, spécialiste de la fin de vie et du deuil. À écouter Anne Tuffigo, médium, dialogue avec les défunts et décrypte leurs signes Podcast “La mort peut être un cadeau”. Des signes des défunts racontés par des proches Depuis que je m’intéresse à ce sujet, les langues se délient, plusieurs personnes me parlent spontanément d’expériences comparables. Pour n’en citer que quelques-unes, trois personnes m’ont raconté avoir reçu la visite d’un défunt ne sachant pas qu’il était mort. L’une a éprouvé une forte sensation de présence du défunt auprès d’elle. La seconde a senti un souffle qui la bousculait et a spontanément pensé au défunt. La troisième personne dormait et a eu l’intuition du décès dans un rêve. Toutes trois se trouvaient à des centaines de kilomètres du lieu du décès. Sophie, la compagne d’un ami récemment décédé, me confie que le matin des funérailles, un oiseau a cogné à deux ou trois reprises à sa fenêtre à coups de bec. Elle l’a pris comme un signe. Quelques jours plus tard, alors qu’elle se reposait, elle a cette fois fortement ressenti la présence physique de son compagnon dans son lit pendant environ cinq bonnes minutes, comme si, dans un puissant enveloppement d’amour, il la tenait dans ses bras. Ce fut tellement intense, me dit-elle, que j’étais persuadée qu’il était là. Puis j’ai senti qu’il se détachait de moi. Et à ce moment-là, je me suis tout de suite retournée pour voir si cette “présence” était là physiquement. Les jours suivants, j’étais pressée d’aller me coucher car j’avais l’espoir que cette expérience se renouvellerait, mais cela ne s’est jamais reproduit. » Lire aussi Depuis un an, je suis en contact avec des défunts PublicitéIls passeraient aussi par les ondes et le végétal… J’apprends aussi que lors des funérailles de la mère d’une connaissance, le téléphone de la meilleure amie de la défunte a sonné. L’écran affichait le numéro de la personne décédée. Néanmoins nul ne se trouvait au bout du fil et après vérification, personne n’avait utilisé le téléphone de la défunte. Troublant non ? D’autant plus que cette connaissance est plutôt réfractaire à ces sujets. Ce phénomène téléphonique figure parmi les études réalisées sur les VSCD. Autre signe assez surprenant encore, perçu à travers le végétal deux personnes m’ont rapporté un témoignage similaire. L’une d’entre elles a vu la plante que lui avait offerte son frère décédé refleurir le lendemain de son décès, la plante était pourtant morte et ne recevait aucun soin depuis des mois. Elle n’a jamais refleuri ensuite… À lire Les morts nous entendent-ils ? Peut-on communiquer avec eux ? Une médium nous éclaire sur le sujet ! Au-delà du cercle des intimes Au départ, le pourcentage relevé par les études d’une personne sur quatre ayant reçu ainsi un signe d’un défunt, m’a paru incroyable. Mais je me suis vite aperçue qu’il suffisait que je parle de ma propre expérience de VSCD, ressentie lors du décès de mon père phénomène qui a duré 3 jours et demi !, pour que d’autres que moi osent à leur tour en parler. La plupart des gens craignent tout simplement de passer pour des illuminés ! En attendant plus de confirmations scientifiques de ces phénomènes, le partage d’expérience demeure une manière d’en attester. Sans cela, combien de fois ne passerait-on pas à coté de ces phénomènes, sans savoir que c’est peut-être notre cher défunt qui nous envoie un signe… À moins que nous ne préférions qualifier tout cela de hasards »… À lire Valérie Seguin, est l’auteure du film “Et si la mort n’existait pas” visible sur Youtube et du livre “Les trois jours et demi après la mort de mon père” Editions Les Arènes, 2015, un témoignage enquête aux frontières de la mort.

shl3Air.
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  • il s en passe des choses dans ma citĂ©