Je venais tout juste de déménager. Après 5 ans d'appartement en centre ville, je m'étais trouvé un coin tranquille en campagne, une ancienne ferme rénovée au centre d'un grand jardin arboré. C'était le début de l'automne, après une dure journée à déplacer des meubles, je me souviens avoir passé le reste de l'après-midi assis sur le porche, admirant le spectacle des feuilles d'arbres virevolter autour des troncs pour aller mourir au sol. Une semaine plus tard, j'avais terminé de déballer les cartons et je préparais la chambre d'ami pour ma petite cousine qui devait arriver dans la soirée. Comme j'étais entre deux emplois, ma tante m'avait demandé de baby-sitter sa fille pendant quelques jours. J'avais accepté avec plaisir, n'ayant toujours pas internet ni de télévision, un peu de compagnie allait me faire le plus grand bien."Elle a déjà mangée, donc plus rien ce soir, même si elle insiste", me dit ma tante en retournant dans sa voiture. "D'accord." répondis-je en faisant un clin d'oeil à Elisa. "Je t’appellerai tous les soirs ma chérie, pas de bêtises!", fit-elle en démarrant le moteur. Elisa et moi firent des gestes d'adieu à la voiture pendant qu'elle s'éloignait entre les arbres. Une fois disparue au détour du chemin, je regardai ma cousine d'un air complice."Il y a un gâteau au chocolat dans le frigo". Elle poussa un petit cri de joie et couru immédiatement rejoindre la maison. Du haut de ses six ans et demie, Elisa n'était pas une fillette très compliquée. En portant ses deux valises remplies de jouets, de carnets de dessins et autres joyeusetés jusqu'à la maison, je me disais que le reste de la semaine allait être une partie de plaisir. J'avais tort. Le lendemain soir, après avoir englouti nos assiettes de purée-jambon son plat préféré, nous nous étions installé dans le salon, au coin du feu. Moi, lisant un livre sur le canapé, elle, dessinant dans un de ses carnets, à plat ventre sur le tapis. J'étais son cousin, mais elle avait pris l'habitude de m’appeler tonton. "Tonton?""Oui ma puce?""Je peux aller jouer dans le jardin?""Non il est trop tard pour ça". "Mais il fait encore jour!"Je jetai un œil par la fenêtre derrière moi. Le soleil n'était pas encore couché, mais ça n'allait pas tarder. "Bon d'accord, mais tu reste dans le jardin juste devant la maison. Si je te vois dans les arbres, je mets tous tes jouets dans le placard et je le ferme à clef". Je n'avais pas terminé ma phrase qu'elle était à mi-chemin de la porte d'entrée, un jouet dans chaque main. Inutile de la suivre pour la surveiller, je l'entendais donner des voix à ses barbies à travers la fenêtre. Quelques minutes plus tard, absorbé dans mon livre, je pris soudainement conscience qu'il n'y avait plus un bruit. "Elisa??"Je regardai par la fenêtre et ne la vis pas. Le soleil était en train de se coucher, la panique m'envahit mais fut de courte durée. "Je suis là !"Je pris une profonde inspiration de soulagement en comprenant qu'elle était dans la cuisine. Quel idiot. A partir de maintenant je ne la quitte plus des yeux. Ce soir-là , comme la veille, je dus négocier pour la mettre au lit. Assis au bord du lit, il fallait que je lui raconte une histoire, ça c'était obligatoire, mais la question étant de savoir combien de temps j'allais devoir improviser dans mon récit pour qu'elle se sente enfin prête à fermer les yeux. Et comme je venais à manquer d'inspiration, je pris la poupée qu'elle tenait entre ses mains et lui attribuai une histoire."Elle, c'est Martine, la fille du roi d'un pays très lointai...""...non, c'est pas vrai.", m'interrompis Elisa. Je lui souris, un peu surpris par le sérieux dans sa voix."Ah bon? Et pourquoi c'est pas vrai?""Elle s'appelle pas Martine, elle s'appelle Angeline.""Angeline? Pourquoi Angeline?""Je sais pas, c'est le jardinier qui me l'a donnée""Quel jardinier?""Celui qui ramasse les feuilles mortes dans le jardin"Le sourire s'évanouit sur mon visage. Elle avait levé son doigt en direction de la fenêtre. "Quoi...mon jardin?"Elle fit oui de la tête. J'observai un instant la poupée entre mes mains. Elle était sale et très abîmée, ce qui est plutôt normal pour un doudou. Mais je n'avais pas de jardinier. "Et... dis-moi, quand est-ce qu'il t'as donné la poupée, ce jardinier?""Quand je suis allée jouer tout à l'heure."Je vis qu'elle remarquait l'inquiétude sur mon visage, alors je lui souris tendrement et l'embrassai sur le front avant de lui souhaiter bonne nuit. De retour sur le canapé du salon, j'étais incapable de reprendre ma lecture. Un jardinier. L'aurait-t-elle inventé? Non, elle n'avait pas l'air de mentir, et puis de toute façon ce n'est pas son genre. Alors quoi? Qu'un inconnu en randonnée traverse mon jardin et croise ma cousine, d'accord, mais qu'il lui donne une poupée? Quel genre d'individu se balade avec une vieille poupée? Tout ça n'a aucun sens... Le livre me tomba soudainement des mains et je me redressai d'un coup sur le canapé. Un rayon de lumière venait de traverser le mur en face de moi. Sans réfléchir, je me précipitai dans le couloir pour sortir la batte de baseball du placard. Puis, j’éteignis toutes les lumières de la maison avant de revenir prudemment me poster prêt de la fenêtre du salon, caché dans l'ombre. Il y avait quelqu'un dans le jardin, à une cinquantaine de mètre en face de l'entrée. Je distinguais clairement les contours de sa silhouette entre les arbres, car elle était éclairée par une lampe torche posée à ses pieds. L'individu paraissait immobile et me tournait le dos. "Votre numéro de téléphone est identifié, et votre communication sera enregistré, tout abus sera sanctionné", me dit la voix de femme pré-enregistrée. Après quelques sonneries, quelqu'un décrocha. "Bonjour, police secours, je vous écoute". "Bonjour, je vous appelle parce qu'il y quelqu'un dans mon jardin". L'agent de l'autre côté de la ligne pris mon adresse et m'informa qu'ils allaient envoyer quelqu'un dans la demi-heure. Je n'avais pas lâché du regard l'individu qui n'avait toujours pas bougé d'un poil, si bien qu'après une dizaine de minutes je commençai à douter qu'il soit bien réel. Ce n'était peut-être qu'un mannequin, une mauvaise blague de mes nouveaux voisins pour me souhaiter la bienvenue. Les plus proches vivaient à trois kilomètres, je les avais rencontré pour demander ma route quand j'étais venu pour visiter la maison. Quatre étudiants en colocation, ce serait bien le genre. Oui, c'était une blague. Voilà quinze minutes que ce truc était immobile, ce n'était pas une personne. De toute façon, la police arrivait, j'allais le savoir bien assez tôt. "Qu'est-ce que tu fais?"Je bondissait de ma cachette en sursaut. Elisa était debout dans le couloir en pyjama. "Euh... rien je... je regarde s'il y a des animaux""Des animaux?""Oui, quand j'éteins les lumières... il y a des cerfs qui viennent parfois se balader dans le jardin""Et... "Elle regardait la batte de baseball posé contre le canapé, juste à côté de moi. "C... c'est pour les ours. Au cas où.""Les ours??"Et merde. Quel con, elle ne va pas dormir de la nuit. "Non enfin... je t'expliquerai demain, il faut que tu ailles dormir, allez allez""Je veux regarder les animaux avec toi""Non non, de toute façon il ne viendrons pas, ça fait déjà un moment que j'attends. Demain soir peut-être, en attendant, au lit! Allez hop!"Avant de la rejoindre pour la porter jusque dans son lit, j'avais jeté un coup d’œil dans le jardin. La silhouette avait disparue. J'ai demandé aux deux policiers de bien vouloir rester dehors, expliquant que je ne voulais pas réveiller ma cousine. Ils m'ont interrogé et j'ai rapidement fais le tour des environs avec eux, en commençant par l'endroit où j'avais vu la silhouette. Pas une trace de l'individu."On va rester dans le coin pendant une petit heure, sur la route au niveau de l'intersection. Sur ce numéro vous pouvez nous joindre directement, si on remarque quelque chose on s'en occupe et on vous appelle, de votre côté, si vous voyez quelque chose, appelez nous mais ne sortez pas de la maison.""D'accord. Merci beaucoup.""C'est normal. Si dans une heure on ne vous a pas contacté, considérez qu'on est rentré au poste, et fermez votre porte à clef."Alors j'attendis, posté dans l'ombre prêt de la fenêtre du salon, comme plus tôt. Je passai mon regard d'est en ouest sur le jardin, scrutant chaque arbre à la recherche d'un mouvement. Au bout d'une heure de silence sans la moindre manifestation d'une silhouette mystérieuse, j'entendis au loin démarrer un moteur. Les policiers était verrouillai les deux portes d'entrée et vérifiai chaque fenêtre. Il était hors de question que je dorme dans ma chambre, alors je pris ma couette et mon oreiller pour m'installer un lit de fortune près de la porte de la chambre d'Elisa. Allongé dans le couloir, la batte de baseball le long du corps, j'essayais de me rassurer pour trouver le sommeil. Tout ça n'est qu'une mauvaise blague, je passerai voir mes voisins dès demain matin pour m'en assurer. "Tonton! Tonton réveilles toi!""Hein? Quoi?"Elisa était accroupie au dessus de ma tête, elle remuait mes épaules avec ses petites mains. Il faisait encore nuit."Qu'est-ce qui se passe? Quelle heure il est?""Il y a quelqu'un dans le jardin!"L'adrénaline envahit mon corps, j'attrapai la batte de baseball. Finit de rigoler. Blague ou pas, je vais le défoncer."Va dans ta chambre et reste-y. Je vais aller voir".Je fis un détour par la cuisine avant de sortir, un couteau ne serait pas de trop. Une fois dehors, je vis la lumière au même endroit que plus tôt, la silhouette était de retour. Je pris une profonde inspiration avant de m'élancer dans sa direction. "Eh! Qu'est-ce que vous foutez là ?"L'individu se retourna pour me faire face. C'était un homme relativement âgé, vêtu d'une salopette marron sur un pull vert très usé. Je m'étais approché jusqu'à me tenir à cinq mètres de lui, et je remarquai que ce n'était pas une lampe torche qui l'éclairait, mais une sorte de lanterne posée à ses pieds. Il me regardait droit dans les yeux. "Qu'est-ce que vous foutez dans mon jardin?", demandais-je en serrant un peu plus fort la batte de baseball."On m'appelle Le Bictou, répondit l'inconnu. Je suis le jardinier""J'ai pas de jardinier. Cassez-vous d'ici et revenez pas, sinon j'appelle les flics""Vous l'avez déjà fait tout à l'heure, c'était pas très efficace. Je vous ai vu passer avec les policiers, j'étais caché là -bas"Il leva son bras droit pour désigner la ligne de buisson qui bordait le côté ouest du jardin."Barrez-vous. Maintenant"."Je ne peux pas.""Pourquoi?""Parce que je dois rester fidèle au poste...".SpoilAfficherMasquer...ou cancer SpoilAfficherMasquerNan je déconne, en vrai les kheys je suis désolé mais panne d'inspiration, j'ai pas réussi à trouver de suite...
en2016 , C'est super! Oui je pale français.J’ai eu l’impression d’être entouré de chaleur… C’était une onde bienfaisante… Il était comme collé à ma peau… Je me sentais baignée de joie et d’amour… » Certes, les variations sont multiples, mais le sens global exprimé demeure fondamentalement le même. Des personnes rationnelles témoignent de l’inouï, des signes des défunts, un contact sensible, réel, avec leurs proches décédés. Dans tous les cas, il s’agit d’une expérience spontanée, survenue sans l’intermédiaire d’un médium et le plus souvent dans les premiers jours ou semaines après le décès. Cette expérience indéfinissable porte un nom VSCD, vécu subjectif de contact avec un défunt », ou encore CAD pour communication avec les défunts ». Des termes qui, pour beaucoup de sceptiques, appartiennent au domaine des impressions, voire des affabulations mais qui, pour ceux qui portent témoignage, soulagent. Car nommer cette expérience est déjà la reconnaître. Des signes des défunts qui ne trompent pas De nombreuses personnes ont ainsi des contacts avec des défunts sans passer par des médiums. Ce sont des personnes que l’on pourrait qualifier de normales » et qui ne se savent douées d’aucun don paranormal. Toutes évoquent pourtant des VSCD qu’il est possible de classer en une brève typologie. Les VSCD les plus courants sont d’ordre sensitif évocation d’une sensation inédite “d’enveloppement d’amour” et de chaleur intense, un sentiment de paix et de joie infini, tactile on se sent touché par une présence qui parfois peut refaire un geste familier du défunt, symbolique comme les papillons, les oiseaux ou les arcs-en-ciel, physique une lumière ou un appareil électrique qui s’allume ou s’éteint, une montre qui s’arrête définitivement à l’heure du décès, visuel vision partielle ou complète du défunt, olfactif une odeur évoquant le défunt. Le VSCD peut survenir aussi dans un rêve où le défunt transmet un message ou encore une communication avant l’annonce du décès. Un exemple frappant a ainsi été rapporté à plusieurs reprises celui des dessins d’enfants ayant vécu en camps de concentration. Alors que ces dessins ont été retrouvés dans des lieux où la mort était omniprésente, on observe sur plusieurs la présence de papillons. La symbolique prend une dimension encore plus forte si l’on se souvient que, dans la mythologie grecque, l’âme acquiert des ailes de papillon. Ainsi elle peut manifester son amour de différentes manières… Sur le même sujet Nos proches nous parlent, apprenons à les entendre, l’interview de Valérie Seguin Le jour où j’ai commencé à communiquer avec les morts Témoignages ils ont reçu un message de leur défunt, ils racontent Une passeuse d’âmes nous explique comment décrypter les signes des défunts Des chiffres parlants… Mais peu de recherches sur les signes des défunts L’expérience du vécu subjectif de contact avec un défunt » ne serait pas si rare. 25% des Européens et 20 à 44% des Américains déclarent l’avoir éprouvée. Pour l’Europe, une large enquête a été menée dans 13 pays. Elle porte sur les domaines de la télépathie, de la clairvoyance et du contact avec les morts. Sur ce dernier point, les individus sondés devaient répondre à la question Avez-vous déjà eu l’impression d’être réellement en contact avec une personne décédée ? De grandes différences par pays apparaissent, puisque les réponses positives varient entre 9% et 41% des sondés. l’Islande en tête avec 41%, puis l’Italie avec 34%, l’Allemagne de l’Ouest 28%, la Grande-Bretagne 26%, la France 24 %, la Belgique 18%, l’Irlande et l’Espagne 16%, la Finlande et la Suède 14%, la Hollande 12%, le Danemark 10% et la Norvège 9%. En résumé, il ressort en moyenne qu’un quart des Européens reconnaît avoir eu un contact direct avec un être décédé. Pour les États-Unis, les estimations, prudentes, annoncent 20% de réponses positives à la question. Mais certaines estimations avancent un pourcentage beaucoup plus élevé, notamment chez les parents et les enfants en deuil, les veufs et veuves. Malgré ces chiffres élevés, nous n’en sommes encore qu’aux balbutiements de la recherche dans le domaine. A ce jour, il n’existe aucune équipe de chercheurs qui répertorient, de façon systématique, les récits de VSCD, en écartant ce qui est de l’ordre du psychiatrique hallucinations, délires d’interprétations etc. pour ne s’en tenir qu’à des faits tangibles. Les voies d’investigation sont désormais ouvertes… » constate le psychiatre français Christophe Fauré, spécialiste de la fin de vie et du deuil. À écouter Anne Tuffigo, médium, dialogue avec les défunts et décrypte leurs signes Podcast “La mort peut être un cadeau”. Des signes des défunts racontés par des proches Depuis que je m’intéresse à ce sujet, les langues se délient, plusieurs personnes me parlent spontanément d’expériences comparables. Pour n’en citer que quelques-unes, trois personnes m’ont raconté avoir reçu la visite d’un défunt ne sachant pas qu’il était mort. L’une a éprouvé une forte sensation de présence du défunt auprès d’elle. La seconde a senti un souffle qui la bousculait et a spontanément pensé au défunt. La troisième personne dormait et a eu l’intuition du décès dans un rêve. Toutes trois se trouvaient à des centaines de kilomètres du lieu du décès. Sophie, la compagne d’un ami récemment décédé, me confie que le matin des funérailles, un oiseau a cogné à deux ou trois reprises à sa fenêtre à coups de bec. Elle l’a pris comme un signe. Quelques jours plus tard, alors qu’elle se reposait, elle a cette fois fortement ressenti la présence physique de son compagnon dans son lit pendant environ cinq bonnes minutes, comme si, dans un puissant enveloppement d’amour, il la tenait dans ses bras. Ce fut tellement intense, me dit-elle, que j’étais persuadée qu’il était là . Puis j’ai senti qu’il se détachait de moi. Et à ce moment-là , je me suis tout de suite retournée pour voir si cette “présence” était là physiquement. Les jours suivants, j’étais pressée d’aller me coucher car j’avais l’espoir que cette expérience se renouvellerait, mais cela ne s’est jamais reproduit. » Lire aussi Depuis un an, je suis en contact avec des défunts PublicitéIls passeraient aussi par les ondes et le végétal… J’apprends aussi que lors des funérailles de la mère d’une connaissance, le téléphone de la meilleure amie de la défunte a sonné. L’écran affichait le numéro de la personne décédée. Néanmoins nul ne se trouvait au bout du fil et après vérification, personne n’avait utilisé le téléphone de la défunte. Troublant non ? D’autant plus que cette connaissance est plutôt réfractaire à ces sujets. Ce phénomène téléphonique figure parmi les études réalisées sur les VSCD. Autre signe assez surprenant encore, perçu à travers le végétal deux personnes m’ont rapporté un témoignage similaire. L’une d’entre elles a vu la plante que lui avait offerte son frère décédé refleurir le lendemain de son décès, la plante était pourtant morte et ne recevait aucun soin depuis des mois. Elle n’a jamais refleuri ensuite… À lire Les morts nous entendent-ils ? Peut-on communiquer avec eux ? Une médium nous éclaire sur le sujet ! Au-delà du cercle des intimes Au départ, le pourcentage relevé par les études d’une personne sur quatre ayant reçu ainsi un signe d’un défunt, m’a paru incroyable. Mais je me suis vite aperçue qu’il suffisait que je parle de ma propre expérience de VSCD, ressentie lors du décès de mon père phénomène qui a duré 3 jours et demi !, pour que d’autres que moi osent à leur tour en parler. La plupart des gens craignent tout simplement de passer pour des illuminés ! En attendant plus de confirmations scientifiques de ces phénomènes, le partage d’expérience demeure une manière d’en attester. Sans cela, combien de fois ne passerait-on pas à coté de ces phénomènes, sans savoir que c’est peut-être notre cher défunt qui nous envoie un signe… À moins que nous ne préférions qualifier tout cela de hasards »… À lire Valérie Seguin, est l’auteure du film “Et si la mort n’existait pas” visible sur Youtube et du livre “Les trois jours et demi après la mort de mon père” Editions Les Arènes, 2015, un témoignage enquête aux frontières de la mort.
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